De 1951 à 1953, c’est à la Slade’s School de Londres que Pierrakos assura sa maîtrise de l’huile et reprit un projet de décor de théâtre initié à Bâle, tout en poursuivant en même temps des études à la Central School of Arts and Crafts de
Londres.
C’est à Londres que se confirma la tendance qui allait devenir une constante : l’expressionnisme, avec un lyrisme qui lui est personnel et qui le différenciait des peintres allemands qu’il admirait. C’est également à Londres que Pierrakos généralisa l’utilisation de l’encre de Chine dans son oeuvre et qu’il travailla plus particulièrement ses dessins "Noir et Blanc".
Un jour de 1951, le jeune étudiant rendit visite à Oskar Kokoschka, qui habitait à Londres depuis quelques années. Lors de six ou sept rencontres, le maître expressionniste lui donna amicalement quelques conseils. Assez pour laisser dans l’esprit et l’imaginaire de Pierrakos une marque indélébile.
C’est à Londres que se confirma la tendance qui allait devenir une constante : l’expressionnisme, avec un lyrisme qui lui est personnel et qui le différenciait des peintres allemands qu’il admirait. C’est également à Londres que Pierrakos généralisa l’utilisation de l’encre de Chine dans son oeuvre et qu’il travailla plus particulièrement ses dessins "Noir et Blanc".
Un jour de 1951, le jeune étudiant rendit visite à Oskar Kokoschka, qui habitait à Londres depuis quelques années. Lors de six ou sept rencontres, le maître expressionniste lui donna amicalement quelques conseils. Assez pour laisser dans l’esprit et l’imaginaire de Pierrakos une marque indélébile.